EXPOSITIONS SOLO (sélectionne)
1989 - GALLERY SERIO - PARIS
1991 - GALLERY LE CHAINON MANQUANT - PARIS
1992 - GALLERY SERIO -PARIS
1993 - CENTRE CULTUREL DE KADIKOY - ISTANBUL
1994 - GALLERY D'ART SCHNEIDER - WINTERHUR - ZURICH
1995 - GALLERY ALKENT ACTUEL ART - ISTANBUL
1996 - "10 ANS DE PEINTURE" - AUBERGENVILLE
1996 - GALLERY LE SOLEIL BLEU - VERSAILLES
1996 - MAC 2000 - PARIS
1996 - GALLERY ALKENT ACTUEL ART - ISTANBUL
1997 - MAC 2000 PARIS
1997 - GALLERY ARTFAKT-MULHEIM-ALLEMAGNE
1998 - MAC 2000 PARIS
1998 - GALLERY ALKENT ACTUEL ART - ISTANBUL
1999 - MAC 2000 PARIS
2000 - FOIRE INTERNATIONALE D'ISTANBUL AVEC LA GALERIE ARTIST
2000 - MAC 2000 PARIS
2000 - GALLERY ALKENT ACTUEL ART - ISTANBUL
2001 - MAC 2000 PARIS
2001 - HALKBANK ART GALLERY-ANKARA
2002 - MAC 2000 PARIS
2003 - GALLERY ARTIST-ISTANBUL
2003 - MANIF-SEOUL- COREE
2004 - START - STRASBOURG
2004 - ART ZURICH -ZURICH
2004 - MAC 2000- PARIS
2004 - FOIRE INTERNATIONALE D'ISTANBUL - ISTANBUL
2005 - START - STRASBOURG
2005 - PULSART - LE MANS
2005 - ARTNIMES - NIMES
2005 - FESTIVAL TRANSMEDITERRANEEN-GRASSE
2005 - FOIRE INTERNATIONALE D'ISTANBUL - ISTANBUL
EXPOSITIONS DE GROUPE (sélectionne)
1985 - GALLERY DORT BOYUT - ISTANBUL
1986 - GALLERY DORT BOYUT - ISTANBUL
1985 - MUSEE DES BEAUX ARTS, IZMIR
1987 - FESTIVAL DE TOURISME ET DE LA CULTURE - BANDIRMA
1990 - PEINTRES TURCS-AGF-PARIS
1991 - SEPT PEINTRES TURCS - METZ-NANCY
1991 - GALLERY VIVE L' ART-LILLE
1992 - PEINTRES TURCS- LES HALLES-PARIS
1992 - SALON D'AUTOMNE-PARIS
1993 - CALEIDOSCOPE DES LIBERTES-LILLE
1993 - GALLERY PIERRE-MARIE VITOUX-PARIS
1993 - GALLERY CHABIN-PARIS
1993 - GALLERY BABACAR-PARIS
1993 - TREIZIEME ART-PARIS
1993 - GALLERY LE SOLEIL BLEU-VERSAILLES
1994 - LE GENIE DE LA BASTILLE-PARIS
1996 - SALON DES ARTISTES AU JARDIN DU LOUVRE-PARIS
1997 - GALLERY LISETTE ALIBERT-PARIS
1997 - ISTANBUL AIR FAIR-ISTANBUL
1997 - 98 - 99 - 00 GALERIE ALKENT ACTUEL ART-ISTANBUL
1998 - 30. BIENALE DE LANGRES-LANGRES (onur konugu)
1998 - ARTIST-ISTANBUL
1998 - GALLERY ARTIST - ISTANBUL
1998 - GALLERY FARDEL
1999 - GALLERY ARTIST - ISTANBUL
2000 - ART CONTEMPORAIN TURC-ESPACE PIERRE CARDIN-PARIS
2002 - GALLERY DRIMART - ISTANBUL
2004 - MAIF - NIORT
2005 - START - STRASBOURG
2006 - ARTISTE INVITE AU 24EME SALON DE VILLEVEQUE
2009 - HOMMAGE A VANG GOGH--CENTRE D'ART CONTEMPORAIN DE BESIKTAS -ISTANBUL
2011 - ANKARA GROUP ART GALLERY
2011 - 13 EGEART - IZMIR
2013 - GALLERY WINGROW - TAIPEI - TAIWAN
2013 - "100 FACES OF TURKISH PAINTING" - IZMIR
2013 - "90 ARTIST 90th YEAR" - BERLIN
FAIRS (selected)
1993 - 94 - FOIRE INTERNATIONALE DES GALERIES ACTUELLES - GENEVE
1995 - 96 - 97 - 98 - 99 - FOIRE INTERNATIONALE D'ART CONTEMPORAIN D' ISTANBUL
2003 - START- STRASBOURG AVEC GALERIE ALKENT ACTUEL ART
2004 - START- STRASBOURG AVEC GALERIE ALKENT ACTUEL ART
2004 - ART INTERNATIONAL ZURICH
1995 - 96 - 97 - 98 - 99 - 00 - 01 - 02 - 03 - 04 - 05 - MAC 2000-PARIS
2004 - MANIF-SEOUL-COREE
2005 - START- STRASBOURG AVEC GALERIE ALKENT ACTUEL ART
2006 - ART MIAMI - AVEC GALERIE PARIS ATHENA - USA
2006 - FOIRE INTERNATIONALE D'ART CONTEMPORAIN D' ISTANBUL
2006 - FIAC-GALLERY ARTIST
2007 - CONTEMPORARY - ISTANBUL WITH GALLERY ARTIST
2008 - CONTEMPORARY - ISTANBUL WITH ALKENT ACTUEL ART
2013 - CONTEMPORARY - ISTANBUL - GALLERY ARTIST
PRIX (selected)
1987 - BANDIRMA FESTIVAL OF CULTURE AND TOURISM PRIZE
1990 - PARIS BEAUJOLAIS ART AWARDS - FIRST PRIZE
COLLECTIONS
AKBAS A OBTENU DE NOMBREUX PRIX DANS LA CRÉATION ARTISTIQUE, PLUSIEURS DE SES
OEUVRES SONT AUJOURD'HUI DISPERSÉES DANS LES COLLECTIONS PRIVÉES, PUBLIQUES ET
MUSEES DU MONDE ENTIER.
1963 Onay Akbas naît dans la petite ville de Fatsa, au bord de la Mer Noire, en Anatolie.Son arrière-grand-
père et son grand-père paternels ont été soldats dans le détroit des Dardanelles. En garnison dans le port
d’Akbas (le mot signifie Tête blanche), connue pour ses hôpitaux militaires dans tout l’Empire Ottoman, ils en
ont adopté le nom. Onay est le cinquième enfant de Sukru Akbas, qui en aura sept. L’homme est religieux,
intellectuel et républicain. La famille Akbas possède des verges de noisetiers, qui sont les premiers terrains de
jeux des enfants.
1973 Mort du chef de famille. L’histoire de la Turquie est alors très troublée. Fatsa est un lieu d’affrontements
réguliers entre les nationalistes du pays et des groupes régionaux, sympathisants de gauche. Demeurée seule à
l’âge de trente-trois ans, Hamiye, la mère de l’artiste, élève ses enfants. Ils l’assistent pour la récolte des
noisettes. Tous feront ensuite des études supérieures, conformément à la volonté de leur père. Onay décroche
le concours d’entrée au collège-lycée Abdurrahman Pasa à Kastamonu, ancienne cité princière richement
construite en bois, à trois cents kilomètres d’Istanbul. L’enfant, lauréat d’une bourse, passe là six ans. Il est
brillant en sciences et en desin, discipline dans laquelle il devient l’élève privilégié de son professeur, Sait
Civcioglu.
1978 Onay obtient le Deuxième Prix National de Dessin. Son frère ainé, Ibrahim, instituteur, meurt, victime
d’un guet-apens politique, à l’âge de vingt deux ans.
1979 Onay est renvoyé du lycée, en raison d’activités politiques. La situation du pays est alors plus agitée
que jamais, à quelques mois d’un coup d’état. Tandis que les émeutes se multiplient, le jeune hom me passe
son baccalauréat à Fatsa et l’obtient. Souhaitant devenir cosmonaute, il se présente à l’Université d’astronomie
et de technologie. Mais il est refusé.
1980 Il intègre l’université Marmara d’Istanbul, pour étudier la peinture et devenir professeur de dessin et
d’histoire de l’art. Il séjourne en prison, comme nombre d’étudiants, régulièrement raflés par la police. Atteint de
tuberculose, il passe quatre mois en sanatorium.
1983 Diplômé de l’Université, il s’installe, avec une quinzaine d’autres jeunes artistes, dans le quartier de
Maltepe, sur la rive asiatique d’Istanbul. Tous vivent, au début, de petits boulots de décor ou de graphisme. Les
“Maltepe” sont à la capitale turque ce que les peintres de Montmartre ou de Montparnasse ont été à Paris. En
Turquie, un tel phénomène est nouveau. Onay vit dans une petite boutique transformée en atelier. Un rideau,
acheté avec une première toile vendue, dissimule le lit. Dans la vitrine, le jeune homme présente ses toiles, qu’il
vend à très bon marché. Elles sont inspirées par la grande peinture classique étudiée à l’Université et font en
particulier référence à Caravage, à Rembrandt.
Il s’agit d’oeuvres intimistes: des scènes de genre, des natures mortes et des représentations d’animaux. Onay
participe pour la première fois à une exposition collective dans une institution officielle: le musée des beaux-arts
d’Izmir
1986 Il expose à la Dört Boyut Art Gallery à Istanbul.
1987 Service militaire: Onay enseigne le dessin au lycée militaire d’Izmir. Il expose au Festival de la Culture
et du Tourisme de Bandirma (Turquie). Il y reçoit le Prix de Peinture.
1988 Départ pour l’Europe. Akbas séjourne en Italie, aux alentours du lac de Côme, puis en Suisse, où il
retrouve l’une de ses soeurs, avant de s’installer à Paris. Nourri de littérature française durant ses études, il se
précipite à Notre Dame de Paris, en hommage à l’écrivain Victor Hugo, et à Auverssur Oise, en hommage au
peintre Van Gogh. Sur sa tombe, il dépose un pinceau. Onay vit d’abord dans la cave d’une épicerie turque, à
Paris, puis dans un petit apparttement, en banlieue, à Clichy. Il s’inscrit à l’Université d’arts plastiques de Paris
VIII Saint Denis, prend des cours de Français, et rencontre l’amour, en la personne d’une jeune parisienne,
d’origine turque, Emmanuelle Buyukkurnaz.
Akbas peint sur des cartons et des panneaux de bois, ou de métal, récupérés ici ou là, avec les pinceaux et les
couleurs qu’il a apportés de Turquie. Son style devient plus expressionniste.
Il rencontre l’écrivain chilien Rafael Arenas, réfugié politique en France. Les deux hommes deviendront de grands
amis. Mauricio Arenas, fils de l’écrivain, composera en 1991 Contrasto: une sonate pour violon et piano “ d’apres
une peinture d’Onay Akbas”. L’autre fils, Pablo, cinéaste, réalisera deux films documentaires sur l’artiste.
1989 Rue de Montreuil à Paris, Akbas montre ses peintures au directeur de la galerie Serio, qui présente du
mobilier contemporain et des toiles de jeunes artistes inconnus.
La galerie lui propose une première exposition personelle, de très grands formats, sur le thème du bicentenaire
de la Révolution Française. L’exposition est un succès. L’artiste gagne suffisamment d’argent pour vivre une
année entière. Le public parisien est alors très enthousiaste et amateur de peinture dynamique, énergique,
nouvelle.
1990 Deuxième exposition personelle, au centre Culturel Gérard Philippe de Noisy-le-Sec, en banlieue
parisienne. Nouveau succès. La Mairie achète un Grand format, L’Orchestre des Apôtres, et un catalogue est
publié. La galerie Antoine Candau, installée dans le quartier de la Bastille, repère l’artiste. Elle le présente lors
d’un concours organisé, autour du vin du Beaujolais, par le commissaire-priseur Pierre Cornette de Saint-Cyr et
son ami, un animateur de télévision très populaire et collectionneur d’art contemporain, Stéphane Collaro. Akbas
remporte le Prix. Il expose à la Galerie Vive l’Art à Lille, avec Combas, Di Rosa, et d’autres jeunes peintres déjà
célèbres, membres du groupe Figuration Libre.
Il participe aussi à l’exposition Peintres Turcs de Paris, à Paris (Espace AGF), et à une exposition collective au
Centre d’art contemporain de Caddebostan, à Istanbul. À cette occasion, il rencontre le poète Sunay Akin. Les
deux hommes deviendront de grands amis.
1991 Avec Emmanuelle, qu’il vient d’épouser, Akbas s’installe à Paris dans le quartier de Ménilmontant, où il
rejoint le groupe Le Chaînon Manquant, avec les peintres Gauthier, Doublier, et l’Argentin Aznar, qui devient un
Grand ami. Ils organisent des expositions dans des lieux alternatifs, et créent leur propre galerie. Ils y
présentent leurs travaux, ainsi que ceux d’artistes singuliers, comme Éliane Larus, Michel Macréau ou Mario
Murua.
Akbas se plonge dans l’étude des arts anciens du Monde, de Mésopotaime, d’Océanie et d’Amérique
précolombienne en particulier. Il se passionne également pour les graffitis et pour les jeunes artistes qui s’en
inspirent, comme l’Américain Basquiat.
La peinture d’Akbas évolue, se simplifie et ignore désormais de la perspective classique. Les formes, très
colorées, se déploient en deux dimensions.
Il commence la série des Épouvantails. À Istanbul, la galerie Alkent Art publie un catalogue consacré aux
oeuvres d’Akbas.
Exposition personelle au Centre Culture Anatolie, à Paris. Et participation à l’exposition Sept Peintres Turcs, à
Nancy (France).
1992 Début de la série consacrée au Monde Théâtre. Désormais l’artiste, qui vient d’adopter la nationalité
française, va procéder par cycles. Un thème s’impose, toujours lié au monde perçu comme une représentation,
à la vie montrée comme une manipulation.
Et ce thème est ensuite décliné pendant quelques années, jusqu’à ce qu’un nouveau sujet surgisse. La manière
d’Akbas demeure très colorée. Les formes représentées, simples et géométriques, sont animées de motifs
lumineux. Les êtres mis en scène sont poétiques et ludiques, les situations, ironiques. Le panda, allégorie de
l’innocence en voie de disparition, devient un animal fétiche. Son regard rond inspirera désormais celui des
personnages représentés.
Expositions personnelles à la Galerie Serio (Paris) et à la Galerie Le Soleil Bleu (Versailles). Exposition au
Salon d’Automne (Paris), à la galerie Vive l’Art (Lille), et dans le cadre de l’événement Peintures Turcs (Paris).
1993 Nouvelle installation en banlieue parisienne, à Gennevilliers, au moment de la naissance du premier
enfant de l’artiste, une fille, Daphnée.
Deux expositions personnelles se déroulent à Istanbul, au Kadiköy Culturel Center, et à l’Alkent Actuel Art
Gallery qui à cette occasion publie un catalogue (textes signés Rafael Arenas, J.C. Aznar, Nedim Gürsel et Guy
Noël).
Nombreuses expositions collectives: en France, Galeri ele Soleil Bleu (Versailles), Galerie Babacar (Paris),
Galerie Chabin (Paris), Galerie Pierre-Marie Vitoux (Paris), expositions Treizième Art (Paris) et Kaléidoscope
des Libertés (Association France-Libertés, Gare SNCF de Lille, France); à Genève, International Contemporary
Art Fair.
1994 Nouvel emménagement à Paris, près du métro Voltaire. Exposition personnelle à Zürich (Galerie
Schneider). Participe à l’événement le Génie de la Bastille (Paris) et à l’International Contemporary Art Fair
(Genève). Entame une correspondance avec le critique d’art Kaya Özsezgin. Ces échanges se transformeront,
au fil des années, en amitié.
1995 Début de la série Les Faux Prophètes. Expositions personnelle à Istanbul avec parution d’un catalogue
(Alkent Actuel Art Gallery). Participe à l’International
Contemporary Art Fair d’Istanbul et au salon MAC2000 (Paris).
Rencontre avec la critique d’art Françoise Monnin, qui devient une amie. Elle évoque le travail d’Akbas dans
différents articles et textes, notamment dans l’ouvrage L’Art Brut (éditions Scala, 1997).
1996 Début des séries consacrées au Jeu, au Théâtre puis au Cinéma.
Expositions personelle en France, à Metz (Galerie Le Soleil Bleu) et à Aubergenville (rétrospective Dix ans de
peinture); à Istanbul, Alkent Actuel Art Gallery. Participe au Salon MAC2000 (Paris) et à l’International
Contemporary Art Fair d’Istanbul.
1997 Exposition personnelle galerie Artfakt (Allemagne). Participe au Salon MAC2000 (Paris) à l’International
Contemporary Art Fair d’Istanbul et à des expositions collectives, Alkent Actuel Art Gallery (Istanbul) et Galerie
Lisette Alibert (Paris). La galerie Alkent publie un nouveau cataloque (texte par Frédéric Amblard).
1998 Expositions personnelles au Touquet (France), Galerie Fardel, et à Istanbul (Alkent Art Gallery). Invité
d’honneur à la 15e Biennale de Langres (France). Participe au Salon MAC2000 (Paris), à l’International
Contemporary Art Fair d’Istanbul et à des expositions collectives dans les galeries Fardel (Le Touquet), Artist Art
(Istanbul) et Alkent Actuel Art (Istanbul). Cette dernière publie un catalogue (texte: Françoise Monnin).
1999 Nouvel emménagement, toujours à Paris, près du metro Parmentier. C’est là que naît son second
enfant, un fils, Théo. Akbas organise l’exposition Huit Artistes Turcs à Paris (Espace des Blancs Manteaux). Il
participe au Salon MAC2000 (Paris), à l’International Contemporary Art Fair d’Istanbul et à des expositions
collectives en galerie à Istanbul, à l’Alkent Actuel Art Gallery et, pour la première fois, à l’Artist Gallery.
Le directeur de cette galerie, Daghan Ozil, entame une collaboration de grande ampleur avec l’artiste. Un
premier catalogue est publié et les oeuvres d’Akbas figurent aux cimaises de cette galerie et de sa filiale à
Berlin, aux côtés de pièces d’artistes mondialement célèbres, comme Ilya Kabakov, Jan Fabre ou Richard
Serra. L’artiste est également régulièrement défendu dans la revue Artist, que publie la galerie. Une oeuvre
d’Akbas figurera même en couverture de ce magazine en 2007.
2000 Début de la série L’Instant et la Mémoire. Composées de manière diptyque, les oeuvres combinent deux
versions d’une même scène, l’une, multicolore (l’instant) et l’autre, monochrome (la mémoire). Emménagement,
toujours à Paris, près du métro Cadet, ou l’artiste achète un atelier. À Istanbul, Akbas devient également
propriétaire d’un atelier. Deux expositions personnelles à Istanbul, dans les galeries Alkent Actuel Art et Artist
Art. À ces occasions, ces deux galeries font paraître chacune une monographie; l’une, écrite par Kaya Özsezgin
et Françoise Monnin (Alkent Actual Art éditions) et l’autre, par Dominique de La Tour (Artist éditions). Participe
au Salon MAC2000 (Paris) et à l’exposition Arts Plastiques Turcs (Espace Pierre Cardin, Paris), dont il est l’un
des organisateurs. Expositions collectives, aussi,dans les galeries Artist et Alkent Art (Istanbul).
2001 Le ministère de la culture français octroie à Akbas un atelier parisien, situé dans le XIIIe arrondissement,
un quartier en pleine restructuration, où l’on construit la Nouvelle Bibliothèque de France et de nombreuses
universités. Expositions personnelles à la Galerie Regard Sud à Lyon (France),à la Halkbank Art Gallery
(Ankara) et à la Bebek Art Gallery (Istanbul). Exposition collective, Artist Gallery (Istanbul). Et participation au
Salon MAC2000 (Paris). L’Artist Gallery publie une monographie (texte: Dominique de La Tour).
2002 Expositions à Istanbul (Drimart Art Gallery). Participation au Salon MAC2000 (Paris).
2003 Expositions à Istanbul (Drimart Art Gallery). Participation au Salon MAC2000 (Paris).
2004 Participe à l’International Art Fair d’Istanbul, aux foires Art Zürich et Start (Strasbourg-France) ainsi
qu’au Salon MAC2000 à Paris.
2005 Participe en France au Festival Transméditerranéen de Grasse et aux foires ArtNimes (Nimes),Puls’Art
(le Mans) et Start (Strasbourg-Galerie Athena), ainsi qu’à la foire Art Istanbul.
2006 Participe à la foire Art Miami (Galerie Athena). Expositions personnelles: en France, à Grenoble (Galerie
Appia), et à Istanbul (Çağla Cabaoğlu Art Gallery).
2007 Début de la série Les Inachevés. Exposition à la Foire ArtIstanbul (Alkent Actuel Art Gallery), et à la
foire Contemporary Istanbul (Artist Gallery).
2008 Expositions personnelles à Berlin (Artist Gallery) et à Istanbul (Alkent Actuel Art Gallery). Exposition à
la foire Antik Park Fine Art and Antiques à Istanbul.
2009 Akbas organise un itinéraire Van Gogh dans toute la France. À l’issue de ce voyage, auquel onze
peintres et vingt-cinq intellectuels turcs participent, sont réalisés une exposition à Istanbul (Centre MKM) et un
livre. Ce projet était en germe depuis 1991. Son aboutissement devrait être présenté prochainement dans
d’autres capitales.
Expositions personnelles à Ankara (Artist Gallery) et à Lyon (Galerie Regard Sud), dans le cadre de la Saison
de la Turquie en France, organisée par le ministère des affaires étrangères français en collaboration avec la
Turquie.
2010 Exposition personelle à Paris, dans le cadre de la Saison de la Turquie en France. À cette occasion,
parution de la monographie Onay Akbas, vingt cinq ans de peinture (texte Françoise Monnin). Participation à
différentes autres expositions collectives, dans le cadre de cette Saison, à Toulouse et à Paris.
À ce jour, l’artiste a participé a environ deux cents expositions et plusieurs centaines d’articles sont parus à son
propos, dans différentes revues spécialisées; Adam Sanat par exemple (Grand dossier en 2000, rédigé par le
doyen de l’Académie d’Ankara, Kaya Özsezgin, et par Levent Çalikoglu, actuel conservateur du musée d'art
moderne d’Istanbul: et aussi Arkitekt, Artension, Artist, Arts Actualités Magazine, Connaissance des Arts,
Gençsanat, Gestri, L’Œil, Milliyet Sanat, Muséart, Sanat, Skala, Türkiye’de Sanat, etc.
De nombreux articles sont aussi parus dans des quotidiens, en particulier, en Turquie, dans Cumhuriyet,
Hürriyet, Milliyet, Radikal; et, en France, dans Le Dauphiné, Le Figaro, La Voix du Nord, Le Progrès, Ouest-
France ou Libération. À signaler également, des émissions de radio, sur Radio France par exemple, et des
documentaires télévisés, diffusés ATV, Canal 8, Kanal D, CNN, France 3, TRT, etc.